Great Sand Dunes, Etats-Unis 2008. Il n'y a dans cette image aucune poésie, aucun regret, aucune contemplation. C'est une photo sans complaisance qui porte avec une force discrète le poids des années de la terre. L'impermanence de nos racines. Juste une matière, des matières à mâcher patiemment, un mastiquage durable propre à guérir la douleur sourde de nos rétines éteintes.
La chanson du bien-aimé
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à Don et Ève... Qui vivra verra le passage de la disgrâce à la Grâce… ou
ne vivra pas. De grâce… ne me parlez pas de disgrâce… car de la Grâce, je
ne m...
Il y a 3 ans
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