Je m'abandonne, tu m'abandonnes, il s'abandonne. La scène est inattendue, je ne l'attendais pas, il ne l'attendait pas non plus. Ses yeux sont ouverts comme toujours quand il dort. Lucas est à bout de force. Sans-doute rêvasse-t-il, ses petits yeux cillent doucement. Il se donne au giron maternel en moins de secondes qu'il n'a fallu pour commencer à lui caresser les cheveux. Ce que l'on fait à tous les bébés, à tous les âges de leur si longue vie. Pour les rassurer, pour les reposer, pour les renforcer. Mon fils est devenu un homme.
Taxe Ta Gueule !
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Crevons l’abcès : l’OMC se belgicise. C’est devenu, non l’organisation
mondiale du commerce mais l’organisation mondiale de la bêtise. L’Europe va
devo...
Il y a 5 semaines
3 commentaires:
Je dois dire que je l'aime aussi beaucoup en couleur. Et j'adore ce texte. Un concentré de tendresse.
Le titre clin d'oeil à Kipling. Je pense qu'on a tous appris ce texte. Il est si beau.
Ton fils aussi d'ailleurs. Et ce regard que tu portes sur lui à ce moment là.
J'aime vraiment l'impression que tu le revois petit enfant, l'espace d'un instant. J'aime beaucoup tes photos de Laure, mais celle-là, c'est un bijou précieux. Parce qu'on y sent un lien. Et que ce n'est vraiment pas donné à tout le monde de faire ressortir une chose aussi impalpable sur une photo. C'est fou ce que ça peut faire l'amour...
J'ai déjà dit que j'adore cette photo?
Oui?
Ah bon...
Ok!
Je le répète alors.
J'ADORE CETTE PHOTO!!!!!!!
Moi aussi je l'adoooooore ! Même peut-être plus en couleur avec la distance. Et comme je t'adore aussi, c'est un échange adorable !
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